Bonjour,
Cela fait un mois que j’ai fini Danser, encore de (la suite d’Hier encore, c’était l’été, vous pouvez d’ailleurs retrouver mon article dessus). Ce roman m’a beaucoup touchée et énormément plu. Je l’ai préféré au premier opus dans lequel, je trouve, l’auteur mettait plutôt les choses en place. En soi, vous pouvez lire l’un et l’autre séparément, on comprend l’histoire dans tous les cas, mais je vous conseille de lire les deux dans l’ordre. Vous louperiez quelque chose sinon !
J’ai adoré retrouver Alexandre, Sophie, Marco et les autres dans les épreuves de la vie. Ce second volet de leur histoire est si réel, si émouvant, si beau et triste à la fois. On ressent parfaitement les réalités de la vie que Julie de Lestrange nous décrit. J’ai été d’ailleurs surprise d’un passage en particulier que voici :
“A travers Charlie, on touchait un pays. Une impertinence vieille de deux mille ans, attaquée lâchement par des brigands.”
Je ne peux vous cacher que ce moment m’a fait verser beaucoup de larmes. Je me suis rappelée tous les évènements de janvier 2015. Le fait que l’auteur insère un moment aussi important de l’histoire française dans son roman rend vraiment l’histoire encore plus réelle qu’elle ne l’était déjà.
Les personnages traversent également des épreuves telle que la mort de leurs proches, la maladie… Des choses de la vie de tous les jours qui sont parfois plus difficiles à vivre selon les personnes. Mais on en tire un bon mantra qui nous fait garder espoir, qui nous pousse à vivre, quoiqu’il arrive :
“Tu perdras les autres aussi. Ou alors, ce sont eux qui te perdront. Ce n’est qu’une question de temps. C’est la seule vérité que l’on sache et qui nous oblige à vivre dans le présent. Alors vis, nom de dieu. Vis de ton mieux. Profite, fais ce que tu veux.”
Je finis cet article sur cet extrait qui est, selon moi, un très bon moyen de voir et vivre les choses (même si la vie n’est clairement pas facile tous les jours et qu’on a parfaitement le droit d’avoir des coups de blues passagers, ou non) !
Avez vous lu Danser, encore et/ou Hier encore, c’était l’été ? Qu’avez-vous pensé de ce(s) roman(s) ? Vous tente(nt)-t-il(s) ?
Merci,
Booksvarden
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