Bonjour !
Ca fait bien trop longtemps que je n’ai pas écrit d’article pour le blog. Je continue à alimenter plus ou moins régulièrement mon bookstagram, mais je vous avoue que je rédige des articles ici seulement si le livre m’a touchée et/ou si j’ai suffisamment de choses à dire dessus.
Aujourd’hui, je vous retrouve donc avec Manuella de Philippe Labro. C’est un auteur que j’affectionne tout particulièrement, j’ai déjà lu quelques livres de lui (L’Étudiant étranger, Un Été dans l’Ouest et Le Flûtiste invisible) et c’est à chaque fois avec plaisir que je redécouvre sa plume. Je le trouve toujours très poétique, décrivant ses personnages, ses histoires de manière à la fois réaliste et rêveuse.
Bref, vous l’aurez compris, Manuella n’y a pas échappé non plus. J’avais en tête de noter des citations comme pour les autres articles, mais en fait je pourrais citer le livre entier. Tout, je dis bien TOUT, m’a touchée et m’a parlée chez Manuella. Sa manière d’être, de ressentir, de penser, ses relations avec ses proches. C’était beau et rapide à lire. Et pourtant le roman ne m’a pas semblé trop court malgré ses deux cents petites pages. Cela était suffisant pour s’attacher à l’héroïne, pour ressentir les mêmes émotions, pour vivre à ses côtés.
Dans ce livre, on suit Manuella durant un été, de la fin du baccalauréat jusqu’au début de l’année scolaire suivante. Pendant deux mois, on découvre avec elle des paysages à couper le souffle, des amitiés fortes, des repas en famille, la mer, la naissance d’un amour éphémère, d’un désir.
Comme je l’ai dit plus haut, je me suis énormément reconnue en Manuella et c’est peut-être pour cela que j’ai autant apprécié ce bouquin, mais si vous vous tentez à sa lecture, j’espère que vous l’aimerez autant que moi ! Vous avez prévu de le découvrir ? Quel(s) livre(s) de Philippe Labro avez-vous lu(s) ?
Merci pour votre lecture,
Bien à vous,
Booksvarden